<< JE NE SAIS PAS SI JE POURRAI TE SUPPORTER
QUANT JE SERAI GRANDE >>
De moi à elle, été 94.
Je n'ai toujours pas la réponse.
Samedi 16 janvier 2010
<< JE NE SAIS PAS SI JE POURRAI TE SUPPORTER
QUANT JE SERAI GRANDE >>
De moi à elle, été 94.
Dimanche 3 janvier 2010
Mes grands-parents retournent (enfin) chez eux. Mon frère et ma soeur retournent (finalement) à l'école... J'aime regarder les autres aller travailler ; méchante.J'ai envie d'un nouvel appareil photo. Si je ne mets pas de beurre dans mes épinards pendant un mois ou deux, que je m'astreint de shopping pendant la même période de temps, je devrai pourvoir m'en offrir un. A part pour des détails minimes genre, je lorgne déjà sur une paire de chaussures New Look et que je trouve pas d'épinards au supermarché à coté de chez moi, c'est un plan infallible.
Mon frère a son anniversaire dans deux semaines. C'est bien, c'est pendant les soldes. Avec un peu de chance, je traine ma mère à Oxford pour lui trouver un cadeau et on revient avec ce manteau qui me fait envie depuis quelques temps. Je sais, je n'ai pas de dignité, je vendrais mes parents pour une jolie paire de chaussures. Mais, c'est Topshop...
Mon ordinateur est mort. Dans la nuit du 30 au 31, dans son sommeil. RIP...
Me shallow?! Not at all...
Me shallow?! Not at all...
BONNE ANNEE 2010 A VOUS AUSSI.
Mardi 29 décembre 2009
On nous a menti, à tous. Londres n'est pas en Angleterre, c'est en France! A Londres il n'y a que des français. C'est vrai, dans le métro, à Harrods', au restaurant... C'est horrible. J'aime bien être 'la seule' française. Quant je rencontre mes compatriotes, je suis ravi et le français devient comme un langage secret que personne d'autre ne comprend...Je me sens comme un agent double infiltré chez l'ennemi. A Londres, je ne suis plus qu'une touriste de plus. C'est nul...
Dimanche 27 décembre 2009
Je m'appelle Elise et je vis en GMT.
J'y suis bien. Entre les gouttes je sort. J'étudie aussi.
J'aime lire des livres dans plein de langues. Je mange indien toutes les semaines.
Quant je rentre en France, ça me fait comme un choc culturel.
Et j'ai décidé d'écrire ici. Juste parce que je peux.
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